La Double Vie de
Véronique (1991)
Ce film est
certainement mystérieux, or, j’irais jusqu’à dire qu’il est très bizarre. La
première scène ouvrit avec une présentation de l’amour, assez cachée, entre un
homme et ce qu’il apparaît à être une lycéenne. Néanmoins, la passion est
haute, donc on semble assez confortable de le voir. Ici se met un film qui est
trempé dans le mystère, et les teintes de la nostalgie, par exemple la sépia.
Le titre du film vous explique nettement le prologue mais comment les
deux Véroniques sont tressées, reste inconnu. Cependant, la première Véronique
est peut-être la plus importante, même la Véronique originale? On ne saura pas. La Vie de Véronique est une
série d’événements qui atteint son point culminant à côté de la tension au sein
du drame, qui augmente. Il faut qu’on dire que la musique, écrit par Preisner,
le composeur préféré du réalisateur: Krzysztof Kieslowski (Trois Couleurs Blue, Blanc et Rouge). Aussi atteint son note le plus
aigu/haut, à ce moment, il semble que ces secondes exactes déroulent comme
destinés. Il y a une atmosphère de la beauté, mais aussi la tristesse et la peine.
Nous ne savons pas toutes les raisons pour laquelle il y a si tant des émotions
qui coulent de sa voix. Si on se souvient les accrochages dans les rues de
Poland, et les scènes où il y a les petites vieilles femmes, qui marchent seules,
à travers la rue avec leurs dos pliés, il pourrait expliquer la tristesse, la
tristesse qui règne à cause de la pauvreté et le labeur qui est enracinée dans
leur société communiste.
D’ailleurs, on
voit Véronique avec ses cheveux plus courts dans Paris. Elle est une femme
moderne, en outre, elle a vécu sa vie en Paris avec la sentiment qu’elle
n’était pas toujours seule, mais après une sentiment plus profond, que
ressemble le sentiment d’un mort ou d’un manque de quelqu’un. Désormais, elle
peut dire qu’elle semble séparer de cette chose que lui donne la sécurité de
temps en temps. Le film commence à devenir plus étrange, et l’action ralentit,
chaque mouvement qu’elle fait est plus lent et aussi plus léger. Elle apparaît
de flotter parmi les sons du motif qui retourne de façon aléatoire. Voilà, on
nous présente avec le lien qui connecte les deux Véroniques, mais que ce soit
profond ou un lien très simple, encore, nous ne savons non plus.
Autant que je
puisse en juger, ce qui est le moment le plus poignant, c’est la rencontre du
marionnettiste. Il arrive dans son camion, avec une image de son organisation
qui semble que ce soit très neutre, inattendu. Mais en découvrant que
l’histoire qu’il agit presque ressemble la vie de Véronique, le symbolisme de
cet homme augment. Alexandre Fabbri (Philippe Volter, un homme francais qui a un air similaire de John Cage dans Wings of Desire) est un sauveur,
choisi très superficiellement par Véronique, elle l’adore grâce aux… rien, elle
n’explique jamais, pourtant il s’arrive qu’elle déclare à son papa, son amour
de cet homme obsédant, mais même, son père ne comprend guère. Finalement, la
verre duquel contre elle a pressé sa visage, disparaît, et elle peut rencontrer
et se rejoindre avec quelqu’un de grande importance. Le film pose la
question ; qu’est que c’est l’amour, et qu’est que c’est l’importance de
l’action sexuelle ? Pour Véronique, il est une résolution de sa vie, pour
se connecter avec quelqu’un d’autre, elle se complète. Mais dans le monde vrai,
où personne n’existe dans deux villes, pourquoi le directeur utilise le motif
de Véronique ?
****
****