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Tuesday, 1 December 2015

Lola montait dans les montagnes.



Lola Montes (1955) 



Lola Montes est un film de beauté. Après avoir retrouvé les couleurs lumineux du film, en 2015, je regarde ce film avec le même choc que les spectateurs ont eu en années 50s quand il est ressorti pour les nouvelles générations des spectateurs. Il fait un étalage scintillant à cause de l’actrice captivante qui joue Lola Montes. Selon moi en utilisant sa beauté et vu qu’elle se mettait l’importance sur sa figure parfait, elle pouvait accéder les positions d’autorités malgré étant une femme. Ce qui est la chose que je l’admire. Bien qu’elle a été élever dans une famille riche, elle ne conforme pas aux idées sur le comportement d’une femme riche, qui est normalement très délicate et doué dans les arts les moins importants. Lola montes est le contraire, elle peut lutter pour sa triomphe. Capitalisant sur sa talents de séduction, elle peut attirer le magicien de la musique du piano de Franz Liszt, elle a la capacité de mettre sous le charme un roi. Tel liberté est utilisée sans retenue cependant il est ironique de regarder Lola Montes assis derrière les barreaux, tandis les hommes payent de l’argent pour la toucher. Il est honteux de le regarde, et comment facile quelqu’un peut tomber d’un position si haut. Pour quelque raison, la violence la suit n’importe où elle va.
 
Néanmoins, nous voyons l’histoire de la femme fatale comme les spectateurs d’un cirque, parmi le fou américaine, qui ont payé pour assister aux événements excitants, en attendant pour quelque chose énorme et magnifique. La manière dans laquelle le chef du cirque parle, encourage, et soutient la tension, mais encore, il n’est pas un accroissement, par contre, il est un horreur de regarder avec aucune pouvoir d’empêcher la destruction (interne et externe) de la vie de Lola montes  En revanche il est très triste qu’on voie l’objectification d’une femme, et la viol de sa vie, encore que on puisse discute la possibilité qu’elle entraine la ruine de soi-même. Sa notoriété était trop progressive pour les vues conservatives d’aristocratie européen. L’action du cirque, avec les théâtres avec des ombres, et les véhicules qui entourent la reine fragile et fatiguée de Lola Montes, les funambules et les trapézistes est une métaphore visuelle pour la vie si amusante et inattendue, or pas oublié, très tragique.

Ayant recherché j’ai trouvé que Lola Montez était une vraie personnage, et tous les histoires se sont passées. Sauf pour la révolution, provoqué par les reformes, qui était à l’origine de Lola Montes durant la romance avec le roi du Bavaria. Il y avait la contradiction avec les lois libéraux et les décisions dictées purement par l’amour ou peut-être la désir. Elle poussait les barreaux entres les arts haut, par éxemple, quand la conservatoire de la danse en Allemande ne l'accepte pas, elle exige l'audience avec le roi pour insérer les danses plus populaire et moins raffinés, (un peu plus séduisant), comme le Bolero, d'Espagne, et elle veut être respecté pour faire quelque chose ce qu'elle crois qu'elle est douée.

Si l'histoire était modernisé, il se peut qu'on puisse le lier aux films comme Gia ou Pretty Woman, mais surtout Gia, où une femme, qui brille dans la lumière rude du monde de la célébrité et la gloire, achève sa vie en mourant d'une dosage excessive des drogues. Comme un spectacle, le monde de la mode s'amusait en regardent et attisant sa décès. Malheureusement, il est une étude fascinante, de faire une enquête dans les histoires des femmes confiante et célébré, et comment, leur propre montée de la gloire, rapidement il devient leur plus gros problème, en les encadrant dans le cadre de la peur et l'insécurité que ils ont fait soi-mêmes

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Monday, 30 September 2013

The Great Gatsby that came before...

The Great Gatsby (1974) I believe, cannot be bettered by its remake (directed by Baz Lurhmann 2013). Granted I have not seen it but by viewing the trailer, and reading reviews I have come to the conclusion that the film does not live up to the book. Which is a great shame because the book is quite groundbreaking and considered a 'classic'; on the surface a romance, yet underneath a critique on social life and manners that are current in the higher echelons of 1920s American society. Honestly, there are many twists and points of accelerated tension that it becomes a mixture of romance, mystery, drama and even attempts at being comedic.

This film that I will be reviewing is a more literal adaptation which works better in giving justice to F Scott Fitzgerald's work. The lines are mostly the same and consequently the film, funnily enough is a realisation of the images I had in my head when reading the book. However the camera work is more experimental that I would expect, however the close ups, emphasizing emotion that would be missed without this technique due to the wealthy character's facade, add dynamism to the film. The recurrent flickers of shots of a billboard advertising an oculist T. J Eckleburg highlight Fitzgerald's concept that despite the lawless antics happening in West Egg, there is a omnipresent God like figure that watches ominously over the party-goers, especially Jay Gatsby; his actions and their repercussions. This idea perhaps is made too obvious however as a motif it works effectively.

Regarding the individual characters, Daisy Buchanan, a whimsical 'beautiful fool' acts delightfully airheaded even though her looks are dark and sharp. Her lifeline is money and firmly believes that the $$$ is the centripetal force that keeps her society rotating. You can't pity her or feel sorry for her, as it is difficult for most people to relate. Personally I find Jay Gatsby pathetic, and Robert Redford doesn't have the elusive charm that I envisaged Fitzgerald's fictional Gatsby to have. My favorite character is the under rated and modest narrator Nick, whose accidental, but timely appearance into awkward situations makes him a great omniscient third person narrator.

The visual aspects are beautiful, especially the wardrobe departments' recreation of flashy, swishy, 1920's flapper dresses. Cartier features as the jewellery designers and Ralph Lauren as the brand behind the extravagant garments. The best accessory is Gatsby's yellow car that is driven whilst Gatsby wears a flamboyant pink suit. The clashing colours are harsh on the eyes and you realise that Gatsby clearly can't buy class & style although he can buy diamonds.

This film is interesting, quite unique and tackles a difficult book to make into film.
sorry its a long one

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