Monday 16 May 2016

The Wanderers



Slacker (1991) – un commentaire sur le chômage aux États Unis.

Nous pouvons comparer la situation des jeunes chômeurs en France, aux chômeurs l’âge entre 18 et 25 ans qui vivent dans la ville de Austin, Texas.
Malgré la pauvreté répandue, les jeunes sont romanesques, comme s’ils errent à travers leurs vies sans les inquiètes, ou sans concerner des conséquences de pauvreté. Or, l’argent n’est pas respecté dans le même sens qu’il est maintenant.  Ce qui replace notre révérence de l’argent est la révérence de connaissance. 'Faut-il qu'on travaille pour avoir soit une bonne ou riche qualité,  de vie?' est la question pertinente. C’est la norme que chaque individu qui est montré en parlant, en marchant, nous raconte leurs idées qui brillent. La marge est étroite entre la folie et l’intelligence. Le mouvement du film donne l’espace aux caractères qui veulent s’exprimer dans une manière libre. Ce que le réalisateur engendre c’est une culture de questionnement. Les débats sont tranquilles et subtils. Oui, on peut disputer une idée mais le discours n’est pas agressif, en outre, il coule comme un fleuve, sinueux quand une pierre se présente, - qui ressemble un stimulus ou un statistique qui peut changer une théorie d’un homme.
 
La première conversation s’agit des multiples univers. Cette idée explique pourquoi le récit change si souvent entre les différents gens. Pendant un homme explore une certaine idée, en fermant les autres possibilités qu’il pensait, ces idées, puis, se sont donnés aux autres gens à considérer. Quand ils quittent les bâtiments, en voyageant hors de la scène, ils emmènent les idées inexplorées. La fluidité des pensées est une chose belle à voir, et il décrit comment on peut être influencé par quelqu’un dans une façon innocente.

Au long du film, la journée se met à finir. La mise en scène augmente la palpabilité des émotions. Ce sentiment s’élève avec le soleil couchant. La lumière chaud et jaune se lave partout, les rues sont trempées avec l’atmosphère qui rendent même ceux qui n’ont jamais vécu dans cet âge, réminiscents. La fatigue est une chose qui beaucoup des réalisateurs évitent, parce que il pourrait rendre ennuyeux le film. Par ailleurs, Linklater, savoure la paresse de ses personnages. Il ne cache pas le fait que rien se passe dans son film. Mais, contrairement aux autres réalisateurs qui dépendent lourdement sur l’action et les effets spéciaux, Linklater utilise la scenario de soutenir l’intérêt des spectateurs. Les mots intéressants et amusants sont dits avec un accent qui met l’accent sur les voyelles longues. Autant qu’il embête les personnes plus âgées, les jeunes le trouve à la mode et branché de parler d’une voix traînante.


Le film Slacker, a imprimé sa marque sur l’histoire des films. Non seulement est la structure assez moderne et avant-garde, le prémisse (oui, on peut remarquer les influences,) mais le terme ‘slacker’, à côté des images des les jeunes qui traînent en fumant, en parlant, en étant politique mais sans prendre beaucoup d’action directe, a été défini comme résultat du film. Linklater exploitent ses talents uniques, le fait qu’il n’est jamais allé au collège du film, démontre qu’il n’a jamais appris les techniques et formules qu’on vous exige. Au lieu, il est mené par son jugement du cœur, et sa confiance en le dialogue spontané.  Nettement, le film est organique, et l’humeur visuelle se présente mieux. Tous ses éléments contribuent à la création d’un film très stimulant mais douloureux en ce qui concerne de désir ardent qui imprègne à travers le film.

Ces jeunes veulent se définir, mais à cause d’une pénurie des fonds,  ils sont les branches de virevoltant, en roulant dans le vent. Ni nous, ni eux-mêmes se connaissent.
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Friday 5 February 2016

Life out of balance

Koyaanisqatsi (1982)
Koyaanisqatsi, est le premier film realisé par Godfrey Reggio, et ce film certainement cimente son héritage dans le monde du film. Ce film répresente le terre, essentiellement, USA, en toute sa gloire, sans ignorer aussi le contraire; le pauvreté abjét. En démontrant la nature magnificent, dans les scènes premières, on peut comparer comment on voit la beauté de notre monde avec l'absence des humaines. Or, avec la présence des humaines, est-qu'il y a la même beauté, ou peut-être, est-qu'il y a plus?



Ce film ne cherche pas un sens ou un signification. Au début, la réalisateur a voulu n'avoir rien comme titre. Il est ainsi approprié que il a choisi Koyaanisqatsi. Le spectateur n'est pas donné un façon dans laquelle il doit regarder le film. Il se peut qu'il soit un sérénade à la technologie et la modernité, ou un hymne pour la vitesse des cités et leurs régenerations? La seule clé est que la mot derive d'un langue Hopi, parlé par les indigènes qui habitent en Arizona, un langue ancien. Reggio présente l'idée que les états unis ont un histoire, mais ils avaient préféré de créer un nouveau monde, et utiliser les résources naturels sams cesse. Conséquemment marquent le terre, dans n'importe quel façon ils choisissent. Les images sur l'écran montrent comment la terre est exploité, apparemment très aggressif. Les machines déchirent le sol et la violence est illustrée à travers les explosions nombreuses.

Cela semble très moche, en outre, je crois que c'est la composition qui le fait si belle. Le rythme du film est dicté par la vitesse des scènes. Avec 'time-lapse', les nuages coulent gracieusement sus les montagnes forts et les ombres sous les nuages rougissent l'image. À mon avis, c'est le long duré des quelques scènes qui donne l'impression que les scènes accélerés sont en réalité plus lentes. Il est une illusion intéressante. C'est la prolongement des coleurs et les lumières des voitures, ou des fenêtres, qui augment cette abstraction. Toutefois les aspects visuelles define beaucoup de le rythme, il est aussi la musique. Le compositeur, Philip Glass, a une maîtrise de la marcottage des morceaux dont chacun s'entrelace. Pour chaque chapitre, la melodie commence avec une note dramatique, et des cuivres grognait comme un tremblement de terre.

Ce qui est le meilleure élément, c'est la mode, et la couleur du film qui est synonyme avec les années soixante dix. Les scènes avec les gens sont faits plus fascinant pour moi parce qu'ils évoquent un sens de nostalgie que je peut sentir, même si je n'avait pas encore été née. Plus important, les scènes de Monument Valley provoquent les sentiments de la Sublime, une émotion très enracinée dans mon esprit et mon âme. Est qu'il est claire que les films western aient inspiré ce film, en plus, que les autres films dans la future soient inspiré par le talent artistique des réalisateurs. Enfin, ce film preuve comment on peut rendre quelque chose belle avec un plutôt petit somme d'argent.

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