Friday 5 February 2016

Life out of balance

Koyaanisqatsi (1982)
Koyaanisqatsi, est le premier film realisé par Godfrey Reggio, et ce film certainement cimente son héritage dans le monde du film. Ce film répresente le terre, essentiellement, USA, en toute sa gloire, sans ignorer aussi le contraire; le pauvreté abjét. En démontrant la nature magnificent, dans les scènes premières, on peut comparer comment on voit la beauté de notre monde avec l'absence des humaines. Or, avec la présence des humaines, est-qu'il y a la même beauté, ou peut-être, est-qu'il y a plus?



Ce film ne cherche pas un sens ou un signification. Au début, la réalisateur a voulu n'avoir rien comme titre. Il est ainsi approprié que il a choisi Koyaanisqatsi. Le spectateur n'est pas donné un façon dans laquelle il doit regarder le film. Il se peut qu'il soit un sérénade à la technologie et la modernité, ou un hymne pour la vitesse des cités et leurs régenerations? La seule clé est que la mot derive d'un langue Hopi, parlé par les indigènes qui habitent en Arizona, un langue ancien. Reggio présente l'idée que les états unis ont un histoire, mais ils avaient préféré de créer un nouveau monde, et utiliser les résources naturels sams cesse. Conséquemment marquent le terre, dans n'importe quel façon ils choisissent. Les images sur l'écran montrent comment la terre est exploité, apparemment très aggressif. Les machines déchirent le sol et la violence est illustrée à travers les explosions nombreuses.

Cela semble très moche, en outre, je crois que c'est la composition qui le fait si belle. Le rythme du film est dicté par la vitesse des scènes. Avec 'time-lapse', les nuages coulent gracieusement sus les montagnes forts et les ombres sous les nuages rougissent l'image. À mon avis, c'est le long duré des quelques scènes qui donne l'impression que les scènes accélerés sont en réalité plus lentes. Il est une illusion intéressante. C'est la prolongement des coleurs et les lumières des voitures, ou des fenêtres, qui augment cette abstraction. Toutefois les aspects visuelles define beaucoup de le rythme, il est aussi la musique. Le compositeur, Philip Glass, a une maîtrise de la marcottage des morceaux dont chacun s'entrelace. Pour chaque chapitre, la melodie commence avec une note dramatique, et des cuivres grognait comme un tremblement de terre.

Ce qui est le meilleure élément, c'est la mode, et la couleur du film qui est synonyme avec les années soixante dix. Les scènes avec les gens sont faits plus fascinant pour moi parce qu'ils évoquent un sens de nostalgie que je peut sentir, même si je n'avait pas encore été née. Plus important, les scènes de Monument Valley provoquent les sentiments de la Sublime, une émotion très enracinée dans mon esprit et mon âme. Est qu'il est claire que les films western aient inspiré ce film, en plus, que les autres films dans la future soient inspiré par le talent artistique des réalisateurs. Enfin, ce film preuve comment on peut rendre quelque chose belle avec un plutôt petit somme d'argent.

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