Slacker (1991) – un
commentaire sur le chômage aux États Unis.
Nous pouvons
comparer la situation des jeunes chômeurs en France, aux chômeurs l’âge entre
18 et 25 ans qui vivent dans la ville de Austin, Texas.
Malgré la
pauvreté répandue, les jeunes sont romanesques, comme s’ils errent à travers
leurs vies sans les inquiètes, ou sans concerner des conséquences de pauvreté.
Or, l’argent n’est pas respecté dans le même sens qu’il est maintenant. Ce qui replace notre révérence de l’argent
est la révérence de connaissance. 'Faut-il qu'on travaille pour avoir soit une bonne ou riche qualité, de vie?' est la question pertinente. C’est la norme que chaque individu qui est
montré en parlant, en marchant, nous raconte leurs idées qui brillent. La marge
est étroite entre la folie et l’intelligence. Le mouvement du film donne
l’espace aux caractères qui veulent s’exprimer dans une manière libre. Ce que
le réalisateur engendre c’est une culture de questionnement. Les débats sont
tranquilles et subtils. Oui, on peut disputer une idée mais le discours n’est
pas agressif, en outre, il coule comme un fleuve, sinueux quand une pierre se
présente, - qui ressemble un stimulus ou un statistique qui peut changer une
théorie d’un homme.
La première
conversation s’agit des multiples univers. Cette idée explique pourquoi le
récit change si souvent entre les différents gens. Pendant un homme explore une
certaine idée, en fermant les autres possibilités qu’il pensait, ces idées,
puis, se sont donnés aux autres gens à considérer. Quand ils quittent les
bâtiments, en voyageant hors de la scène, ils emmènent les idées inexplorées.
La fluidité des pensées est une chose belle à voir, et il décrit comment on
peut être influencé par quelqu’un dans une façon innocente.
Au long du film,
la journée se met à finir. La mise en scène augmente la palpabilité des
émotions. Ce sentiment s’élève avec le soleil couchant. La lumière chaud et
jaune se lave partout, les rues sont trempées avec l’atmosphère qui rendent
même ceux qui n’ont jamais vécu dans cet âge, réminiscents. La fatigue est une
chose qui beaucoup des réalisateurs évitent, parce que il pourrait rendre ennuyeux
le film. Par ailleurs, Linklater, savoure la paresse de ses personnages. Il ne
cache pas le fait que rien se passe dans son film. Mais, contrairement aux
autres réalisateurs qui dépendent lourdement sur l’action et les effets spéciaux,
Linklater utilise la scenario de soutenir l’intérêt des spectateurs. Les mots
intéressants et amusants sont dits avec un accent qui met l’accent sur les
voyelles longues. Autant qu’il embête les personnes plus âgées, les jeunes le
trouve à la mode et branché de parler d’une voix traînante.
Le film Slacker,
a imprimé sa marque sur l’histoire des films. Non seulement est la structure
assez moderne et avant-garde, le prémisse (oui, on peut remarquer les
influences,) mais le terme ‘slacker’, à côté des images des les jeunes qui
traînent en fumant, en parlant, en étant politique mais sans prendre beaucoup
d’action directe, a été défini comme résultat du film. Linklater exploitent ses
talents uniques, le fait qu’il n’est jamais allé au collège du film, démontre
qu’il n’a jamais appris les techniques et formules qu’on vous exige. Au lieu,
il est mené par son jugement du cœur, et sa confiance en le dialogue spontané. Nettement, le film est organique, et l’humeur
visuelle se présente mieux. Tous ses éléments contribuent à la création d’un
film très stimulant mais douloureux en ce qui concerne de désir ardent qui
imprègne à travers le film.
Ces jeunes
veulent se définir, mais à cause d’une pénurie des fonds, ils sont les branches de virevoltant, en
roulant dans le vent. Ni nous, ni eux-mêmes se connaissent.
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