Thursday 24 December 2015

La Haine, et maintenant le désespoir.

La Haine (1995)


La Haine est un film explosif et très captivant. Le film de Mathieu Kassovitz est inspiré de la mort de Makomé M’Bowolé, tué par un policier lors de sa garde à vue. Kassovitz se demande la question, qu'est qu'il est arrivé là. Sa réponse est ce qu'on voit sur l'ecran.

 Dés que j'ai vu l'affiche en noir et blanc j'ai su que ce film va être un film français unique qui aborderait les issus qu'on n'a pas entendu fréquemment en France. Il faut qu'on compare la Haine aux autres films qui choisissent leur histoires d'être percutant; par exemple Kids (un autre film des années 90's), Trainspotting et This is England, qui démontrent les jeune mécontents. Cependant, ces films sont situés dans les locations différents, chacun avec les problèmes specifiques dont chaque film abordent. En ce qui concerne la Haine, la Banlieue, infâme mais ne guère compris, est la centre des manifestations violents qui sont la prelude de l'action qui dégage sur l'écran. Il est important de savoir la situation sociale dans laquelle les jeunes vivent. La pauvrété n'est pas extrême pour les trois personnages principaux à cause du vendre des drogues et les transactions à huis clos. Ils ne portent pas les vêtements et les chausseurs déchirés, vu qu'ils sont les pauvres urbaines. Leurs vêtements déclarent qu'ils viennent de la banlieue, ils sont leur panoplies pour gagner le réspect et sembler cool. Il est interesant de noter que les jeunes de toutes les races s'unissent avec l'uniforme de tracksuits ect. En même temps, ils se separent de la majorité des français.

Ces jeunes, déja s'éloignent selon leur habitude, mais aussi leur language. Ils parlent avec un dialect de verlan. Les phrases courts sont parlés très vite et ils sont répétés. En dirigeant le caméra dans un angle bien en face sur les personnages, la diologue est très direct.

Je peux imaginer que cette façon de parler est très difficile d'écrire comme une scènario, donc le fait que on improvise la plupart de la scènario, il augmente le sens de la spontanéité et de la vivacité. En outre, comme une specateuse étrangère, il est fascinanate de voir comment les classes sociales de la france interagissent. Ce qui est un problème est qu'on pourrait voir ce film avec l'air d'un voyeur plutôt que s'engager entièrement dans le film et comprendre comment la réalisateur décrit un vrai réprésenation de la culture marginalisée des jeunes de banlieue.

Il est claire qu'il est les problèmes fondementaux, au moyen desquels les jeunes vivent commes les sourirs dans les HLMs qu'on suppose d'être moderne, mais ils ne sont vraiment pas. Les architects et les planifiacteurs ont ignoré à faire une communauté, et au lieu ils ont crée des fôrets des appartements très hauts, ressemblant surpeuplés. Par conséquent, dans le film, ils est habitude de voir les scènes de la oisiveté. Il y a un culture qui apparait grâce à l'ennui. Il y a la musique de Hip Hop, il y a la danse de la rue, et la boxe, néanmoins, il y a beaucoup de fumer de dope. Tous ces activités excitantes (sauf se droguer) sont juxtaposées aux espaces très vides comme un désert qui rassemble la oisiveté qui pousse les jeunes pour devenir les criminaux aussi.


Poets' estate
the cutural gestapo










Tous ce qui est liés aux messages et slogans dispersés au sein du tissu de l'environnement de la banlieue mais aussi la centre de la Paris. En écrivant sur les mures sont les phrases comme "l'avenir, c'est nous, le monde appartient à nous/vous" et la poeme qui est tissé dans l'histoire est présentée à nous à la début "ce n'est pas la chute, c'est l'atterrissage." Est-qu'elle est une dissuasive? Est-ils sont les messages antiviolence? Le premier message est intercepté quand les trois jeunes 'branleurs' tentent de s'engager en la culture haute - ils vont au musée d'art pour une vernissage - mais ils sont expulsés de ses propres fautes, et ça montre que la 'future', en ce qui concerne le succès dans le monde professionel, qui est atteinte plus facile en regardant l'art, en lisant en ayant une éducation est loin d'être qui leur est propre.

Or, ce film est dans le passé et le réalisateur décrit un âge où il y a l'éspoir tandis que je dirais que actuellement, avec le résurgence des musulmans poliques, la vie dans les cités est plus tendu qu'auparavant. La communauté est plus fracturée par les ethnicités. La bande des amis qui est composée d'un noir, d'un juif et d'un arab, badine un peu donc la combination de la comédie et le drame marche très bien. Quand ils trâinent ensemble en Paris, il est très cool, alors que les comparaison entre les scènes violentes et dramatiques sont plus exagères. Dans le film le lutte est uniquement contre la système policère. En realité dans les cités en 2015, peut-être il n'est non plus?

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